Le succès des trottinettes en libre-service

Le succès des trottinettes en free-floating (sans borne de recharge fixe, ni station auxquelles les rattacher) est incontournable.

Pour que cette mobilité douce ne soit pas source de désagréments, les usagers des trottinettes partagées sont tenus de respecter quelques règles de sécurité et de courtoisie

trotinnette

Pour louer une trottinette électrique, il faut être âgé de 18 ans minimum.  Le permis de conduire en revanche n’est pas nécessaire.

Comme ces trottinettes peuvent atteindre les 20 ou 25 km/h (selon la marque), l’usager est assimilable à un cycliste. C’est la raison pour laquelle, il est tenu de circuler sur la chaussée ou sur la piste cyclable, s’il y en a une.

Le conducteur de trottinette doit rester maître de sa vitesse, indiquer clairement ses intentions (bras tendu avant un virage), dépasser les piétons avec une distance de sécurité raisonnable et, surtout, être visible. Le port d’un casque n’est pas une obligation mais il est fortement recommandé.

Bien que les trottinettes partagées ne soient pas disponibles de nuit, sachez que le port du gilet réfléchissant est alors obligatoire de même qu’un feu blanc (ou jaune) à l’avant et rouge à l’arrière du véhicule. Les firmes de location insistent aussi pour ne pas y monter à plusieurs. Certaines d’entre elles ont d’ailleurs lancé une campagne pour promouvoir les bonnes habitudes de conduite.

A destination, la trottinette doit être garée de manière responsable. Il s’agit de  l’un des comportements des usagers les plus critiqués…et critiquables. L’utilisateur est tenu de laisser 1,50 m minimum de trottoir pour le cheminement des piétons et doit permettre l’accès aux garages et aux portes d’entrée. Les arrêts des transports en commun et les passages pour piétons doivent également être libres d’accès.

Nos policiers de la zone Montgomery le répètent à l’envi : « La courtoisie conjuguée au respect du code de la route sont vos meilleurs alliés pour une conduite en toute sécurité. »