Campagne AWSR - Somnolence au Volant

Afin de mesurer l’ampleur de ce phénomène en Wallonie, l’AWSR a interrogé 1.000 conducteurs wallons sur leur éventuelle expérience en matière de somnolence au volant.

Somnolence au volant

Les résultats indiquent que :

  • un conducteur wallon sur deux s’est déjà senti somnolent au volant ;
  • 53% des conducteurs qui reconnaissent s’être déjà sentis somnolents au volant se souviennent l’avoir été lors d’un trajet de vacances ;
  • trois quarts d’entre eux ont commencé à se sentir somnolents après plus de deux heures de trajet (plus le trajet est long, plus le risque de s’endormir au volant est important) ;
  • 6,2 % des personnes interrogées (plus d’un conducteur wallon sur vingt) ont été impliquées dans un accident corporel lié à la fatigue au cours de l’année écoulée ou ont failli l’être (en tant que conducteur ou passager). 

Le phénomène de la somnolence au volant reste peu visible puisqu’aucune technologie ne permet d’attester physiquement du degré de fatigue du conducteur et de révéler s’il est, ou non, en mesure de conduire.