#RespectMutuel Vidéo 6 - Accident
« Il faut pouvoir compter les uns sur les autres »
Même en cas d’accident, le Respect mutuel doit prévaloir. La police le favorisera et vous aidera à faire face à l’événement. Retrouvez l'avant-dernière vidéo réalisée par la Police Fédérale et la Commission Permanente de la Police Locale, grâce à l’appui de la société « Bridgeneers » et au financement du service social (SSD) de la police.
« J’avais la priorité, c’est lui qui est en tort ». « J’avais la priorité, c’est elle qui est en tort ». Voici ce que pensent deux citoyens impliqués dans un accident fictif illustré dans le nouveau clip réalisé par la société « Bridgeneers ». Les policiers arrivent sur place et s’enquièrent de l’état des conducteurs, tâchant de maintenir un respect mutuel. « Personne n’est blessé ? Ok, on va essayer de continuer comme ça… Pour savoir qui est en tort, ce sont les assurances qui vont décider. Nous, on va s’occuper des constats ».
L’inspecteur principal Jérôme Mollers (ZP Eifel) a participé au projet avec enthousiasme. « Ma langue maternelle est l'allemand et je souhaitais représenter l’arrondissement d’Eupen. Je suis très heureux de faire partie de ce projet dont la thématique me tenait à cœur. J'espère que le message de respect mutuel que nous voulons transmettre à la société sera bien reçu », confie l’inspecteur principal de 38 ans, chef du service roulage de la zone de police Eifel.
L’agent de police Shawki El Ouahabi (ZP PolBru) le rejoint dans ses propos. « Il me tenait à cœur de participer au projet pour insister sur l’importance du respect. Certains citoyens oublient parfois le rôle de service aux personnes que représente la police. Ils pensent trop souvent à la sanction et se méfient de nous… Ce genre d’initiative peut aider à changer la vision de ces personnes », détaille le policier de 32 ans.
La rencontre des acteurs et des collègues
Malgré leur longue journée, les collègues ont beaucoup apprécié le tournage aux côtés d’acteurs professionnels. « Eux ont pu se faire une idée du travail de la police et nous de celui des acteurs. Nous savons maintenant combien de boulot représente une minute de film. Les scènes ont souvent été répétées 10 fois ou plus, jusqu'à ce que tout soit comme le réalisateur l'avait imaginé », explique l’inspecteur principal.
Outre les rencontres avec les acteurs, Chloé, Jérôme et Shawki ont pu échanger avec les collègues impliqués. « Il était agréable de voir des francophones, des néerlandophones et des germanophones réunis sur le plateau de tournage. La bonne volonté et le respect mutuel ont permis une belle collaboration », termine Jérôme.
