#RespectMutuel Vidéo 5 - Le tapage nocturne
« Politesse, respect et aide à la personne, des valeurs essentielles »
S’amuser, c’est bien, mais pas n’importe comment. Le tapage nocturne (entre 22h et 6h) est punissable par la loi. La police espère toujours ne jamais en arriver là. Un #RespectMutuel permet des échanges plus constructifs. C’est ce qu’illustre la 5ème vidéo réalisée par la Direction de la communication (CGC) de la Police Fédérale et la Commission Permanente de la Police Locale (CPPL), grâce au soutien de la société Bridgeneers et du Service social (SSD) de la police.
Alors qu’ils profitent d’un moment entre amis à la terrasse d’un café, un groupe de personnes voit la police débarquer. « Ambiance, on n’a même pas le droit de s’amuser un peu ? », pense l’une des convives.
« On ne veut pas gâcher la petite fête mais on a reçu un appel pour tapage nocturne. Alors, je vais vous demander de bien vouloir rentrer, baisser le son et puis, garder la porte fermée. Si on doit revenir, on va devoir verbaliser, et ça peut amener à la fermeture du lieu. Merci, bonne soirée messieurs, dames », annonce l’agent de police.
Alors que les protagonistes rentrent en râlant, la vidéo s’achève sur une mère de famille étant parvenue à coucher son enfant, démontrant qu’avec du respect mutuel, chacun peut vivre sa vie sereinement.
L’inspectrice Noémie De Paepe, active au service intervention de la zone de police de Charleroi depuis 2015, a participé au clip, aux côté de l’acteur incarnant le policier. Elle n’a pas hésité à déposer sa candidature car le thème la touche particulièrement. « Le respect mutuel est un devoir pour chacun. Il nourrit la bienveillance envers toute personne et toute chose, et ce, quel que soit le moment, l'humeur, l'individu ou l'objet. Il incite à ne pas faire de mal à qui et quoi que ce soit. »
A travers sa participation, Noémie a également voulu incarner sa vision de la police. « La politesse, le respect, la capacité à venir en aide à une personne en difficulté, sont des éléments capitaux pour vivre ensemble au quotidien. Ces valeurs sont également celles de la police et c'est pourquoi j'y suis rentrée il y a quelques années ! »
Fidèle à la réalité
La jeune femme de 27 ans gardera un excellent souvenir du tournage. « Le personnel et les acteurs nous ont mis à l'aise immédiatement. Nous avons été très bien reçus et accompagnés par la production. De plus, notre avis a été pris en compte pour savoir si les clips étaient fidèles à la réalité de terrain et nous avons pu échanger avec de nombreuses personnes. C'est une journée qui restera gravée dans ma mémoire. »
