"Bonne nuit. Bonne route."

Les enquêtes montrent que notre sommeil se détériore. Ce phénomène a des conséquences souvent sous-estimées sur nos routes. C’est pourquoi l’AWSR lance une nouvelle campagne de sensibilisation qui invite les conducteurs à passer une bonne nuit, pour faire bonne route.

La somnolence, cet ennemi invisible sur la route

Une dette de sommeil, qui selon les cas devient chronique, va nous rendre somnolents dans la journée lors d’activités monotones, comme la conduite d’un véhicule.

Un conducteur ayant dormi 5h en moyenne par nuit pendant plusieurs jours consécutifs risque 6 fois plus d’avoir un accident qu’un conducteur qui a dormi 8h en moyenne, soit un sur-risque équivalent à celui d’une personne qui roulerait avec plus de 1g/l d’alcool dans le sang. Les statistiques le prouvent : sur les routes, on estime qu’au moins 1 accident corporel sur 6 est dû à la somnolence, voire plus sur les autoroutes, où les trajets sont plus monotones.

Lutter contre le sentiment d’invulnérabilité

Plus de 1 conducteur wallon sur 2 se dit capable de résister à la fatigue pour un trajet de 1h ou moins ! Et pourtant, la somnolence altèrera ses facultés sans qu’il s’en rende compte. Les accidents qui en résultent sont souvent graves car le conducteur n’a pas tenté de freiner.

Plus vous êtes reposé, mieux vous conduisez. Tel est le message. Au fond, c’est simple comme bonne nuit.

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